Victime d'arnaque sur Internet, que faire?

  • Anonymes
il y a 2 ans 8 mois #1 par Anonymes
Réponse de Anonymes sur le sujet Victime d'arnaque sur Internet, que faire?
Il est possible que vous fassiez face à des comportements suspects,auquel cas il n’y a pas lieu de déposer une plainte mais qu’il est important de signaler.Mais si vous êtes vraiment victime d’une arnaque financière, le dépôt de plainte s’impose, L’Unité Spéciale de Lutte Contre la Cybercriminalité en sigle (USLCC) en collaboration avec l’Interpol mondial reçoit vos plaintes afin de les analyser pour vous rendre justice et que ces hommes sans foi ni loi soient punis conformément à la loi (321-1,314-1 du code pénale) en vigueur pour ces types d’infractions. Nous recevons vos plaintes aux adresses mails suivantes :

Email : c.uslcc@outlook.fr / contactinterpolmondial@gmail.com

Un inspecteur général de police judiciaire prendra contact avec vous dès réception de votre plainte et vous donnera les démarches à suivre pour l’arrestation de vos escrocs et la suite de la procédure judiciaire afin que justice soit rendue et que vous soyez dédommagé.
 
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il y a 3 ans 1 mois #2 par Modérateur
Victime d'arnaque sur Internet, que faire? a été créé par Modérateur
CONSEILS - Arnaques à l'annonce, phishing, rançongiciel..., les types d'escroqueries sur Internet se multiplient. Quels sont les bons réflexes à avoir lorsque l’on est victime de telles annonces?

D’après une note de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) publiée en septembre 2020, 51% des quelques trois millions de victimes françaises d’arnaques recensées entre 2017 et 2018 avaient eu un premier contact avec l’auteur sur la internet. Plus de la moitié des victimes d’escroqueries en France se font donc désormais piéger en ligne.

Des arnaques à signaler immédiatement

Un achat que l’on fait sur Internet et dont le vendeur supprime son profil dans l’heure, un chantage à la webcam
, un écran d’ordinateur qui se bloque et affiche une demande de rançon…, certaines escroqueries en ligne nous frappent de plein fouet. Mais il n’est pas toujours facile de réaliser que l’on a été victime d’une arnaque. Pour les personnes dans le doute, la plateforme gouvernementale cybermalveillance.gouv.fr permet de faire un diagnostic rapide et gratuit. Une fois le type d’attaque ciblé (cela peut être une escroquerie, mais pas que), des conseils adaptés y sont donnés, et l’aide d’un professionnel de proximité référencé par le gouvernement y est proposé.
 
 S'il s’agit d’une escroquerie, il est conseillé de la signaler immédiatement

sur la plateforme dédiée du ministère de l'Intérieur
, puis de porter plainte (au commissariat de police, à la brigade de gendarmerie, ou par écrit au procureur de la République). En cas de vente frauduleuse réglée par carte bancaire, il faut faire opposition. Il est aussi possible de se faire rembourser, sous certaines conditions, en sollicitant une rétro-facturation auprès de sa banque ou de la marque de sa carte bancaire. De manière générale, chaque victime d’escroquerie (en ligne ou non) peut appeler gratuitement la plateforme Info Escroqueries au 0-805-805-817 pour être conseillée.

Adopter les bons gestes pour les éviter
 
La pandémie actuelle est une période propice aux arnaques sur Internet (recours au télétravail, temps passé devant les écrans en hausse…), et les escrocs professionnels mettent sans cesse en place de nouvelles cyberattaques. Très tendance, le phishing (un hacker se fait passer pour une marque ou un organisme de confiance, par exemple une administration, afin de récupérer des données personnelles), et le rançongiciel peuvent être évités en installant un logiciel antivirus de bonne qualité.
Lire aussiLes faux SMS, la nouvelle grande cyberattaque en France
 
Pour d’autres escroqueries, comme les arnaques à l’annonce, les arnaques financières ou par courrier électronique, seules la méfiance (les achats sur Internet doivent être réalisés chez des enseignes de confiance, les courriels suspicieux sont à supprimer...) et la recherche d’informations peuvent aider à ne plus tomber dans le piège. La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) met par exemple actuellement en garde contre le dropshipping, tandis que l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) et l'Autorité des marchés financiers (AMF) publient régulièrement des listes noires d’entités non autorisées à proposer des services financiers en France.

Challenges ( voir article original sur Challenges ici )
(Par la rédaction de l'agence hREF)

 
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